Lise Vaugeois Députée, Thunder Bay—Supérieur-Nord

Gouvernenment de l'Ontario

Enjeux

2 Mai, 2023

 

Lise Vaugeois, Députée provinciale de Thunder Bay-Supérieur-Nord, a récemment publié la déclaration suivante concernant la sécurité routière sur les routes du Nord. Dans cette déclaration, elle exprime ses inquiétudes quant à l'augmentation des accidents impliquant des camions de transport et appelle à des mesures concrètes pour améliorer la sécurité routière dans la région. Voici la déclaration complète :

 

"En tant que députée de Thunder Bay-Supérieur-Nord, je suis profondément préoccupée par l'augmentation du nombre d'accidents impliquant des camions de transport sur nos routes. Les chauffeurs de camion mal formés et dangereux mettent en danger la vie des Ontariens et il est temps d'agir pour améliorer la sécurité sur nos autoroutes.

 


"J'ai reçu des demandes de la Police provinciale de l'Ontario (OPP) pour savoir comment nous pouvons empêcher les conducteurs inexpérimentés de conduire dans notre province. Je me joins aux appels des Truckers for Safer Highways et de plusieurs de mes collègues députés pour que le gouvernement prenne des mesures urgentes.

 


"Nous avons besoin de formations de qualité pour les conducteurs de poids lourds, de contrôles renforcés des entreprises de transport qui ont des pratiques frauduleuses et d'un plus grand nombre de postes d'inspection sur nos routes. Les routes 11 et 17, les plus longues routes provinciales de l'Ontario, sont particulièrement préoccupantes.
Il est temps que le gouvernement de l'Ontario agisse pour garantir la sécurité des Ontariens sur nos routes."

Le plan pourrait entraîner une baisse de la qualité des soins aux patients et encourager la surfacturation pour augmenter les bénéfices des établissements privés

Le 16 janvier, 2023

THUNDER BAY - La députée provinciale de Thunder Bay-Supérieur-Nord, Lise Vaugeois, se joint à ses collègues du NPD à l'Assemblée législative de l'Ontario pour dénoncer la décision de Doug Ford de privatiser 50 % du système de santé de la province en transférant les patients vers des cliniques privées à but lucratif. Cette démarche entraînera une diminution de la qualité des soins, car les entreprises à but lucratif débaucheront les travailleurs de la santé du système public et imposeront des frais aux patients pour des "services supplémentaires" non couverts par l'assurance-santé de l'Ontario (OHIP). Les patients devront alors utiliser des cartes de crédit, au lieu de leurs cartes d'assurance-santé.

"Depuis le jour où les conservateurs sont arrivés au pouvoir, ils se sont concentrés sur le désinvestissement et la privatisation du système de santé de l'Ontario", a déclaré la députée Lise Vaugeois. "Cela a toujours été la tactique des conservateurs : créer une crise dans un système public en le privant de financement et de ressources, puis apporter une 'solution' en transférant des services au secteur privé. C'est précisément ce que Mike Harris a fait avec le système de soins de longue durée dans les années 1990, ce qui a entraîné des soins de qualité médiocre et des décès évitables pendant la pandémie. Ce n'est que le début du plan de privatisation de Ford. Notre système de soins de santé public est en train de s'effondrer en raison du manque de personnel, mais le gouvernement veut étendre les soins de santé privés en détournant les travailleurs de notre système public.

Il convient de noter qu'un des principaux centres de soins oculaires privés de la province a fait pression intensément sur le gouvernement Ford pour étendre les chirurgies de la cataracte privées et entretient des liens étroits avec les progressistes-conservateurs de l'Ontario dirigés par Doug Ford.

"Nous l'avons vu avec le fiasco de la Ceinture de verdure, et nous le voyons à nouveau avec les soins de santé. Attachez vos ceintures, mesdames et messieurs, en ce qui concerne la dégradation de notre système de santé public, ce gouvernement va 's'en occuper'."

La députée Vaugeois et le NPD de l'Ontario soulignent la nécessité d'investir dans notre système de santé public en le soutenant avec les ressources dont il a besoin au lieu de les dépenser dans des cliniques à but lucratif. Plutôt que de vendre notre système de santé à des donateurs politiques, le premier ministre doit mettre fin à cette attaque contre les soins de santé, abroger le projet de loi 124 et collaborer avec des groupes tels que l'Association des infirmières et infirmiers de l'Ontario (AIIPO) et le Collège des médecins et chirurgiens pour résoudre la crise dans notre système de santé.